La tendance « art-glitch » (comprendre l’art des choses-qui-ne-marchent-pas-comme-il-faudrait) n’épargne pas non plus le monde de la géomatique. Pour preuve cette collection de modèles 3D foireux repérés par Peder Norrby.
La tendance « art-glitch » (comprendre l’art des choses-qui-ne-marchent-pas-comme-il-faudrait) n’épargne pas non plus le monde de la géomatique. Pour preuve cette collection de modèles 3D foireux repérés par Peder Norrby.
À lire, ce très bon article sur le cas de la cartographie OpenStreetMap à Clermont-Ferrand, réutilisée à titre expérimental pour en faire une carte Michelin.
À travers ce cas particulier, on voit toutes les problématiques qui se posent et les solutions apportées pour atteindre l’exhaustivité, l’actualité et la justesse des informations.
On lira avec intérêt la partie d’acquisition automatique de données avec une mini-caméra et un GPS logger.
Images satellite, mobile mapping … La technique ça va bien un moment. Mais sans tomber dans le hors sujet, je vous présente Jenny Odell. C’est une jeune artiste de San Francisco qui utilise la richesse de l’immense quantité d’images produites/achetées par Google pour en faire des oeuvres – pour le moins originales.
Son premier projet, le plus célèbre, s’appelle Satellite Collections.
Le principe : repérer une catégorie d’objets sur les photos satellite de Google Earth, les capturer, les découper et les coller méthodiquement, tel cet amas de champs circulaires :
Elle fait ce travail depuis 2009 et elle continue toujours à amasser les objets.
Le second projet que j’ai retenu est Re-enactments. Il date de 2009.
L’idée, c’est repérer des gens pris en photo sur le vif par les Google Cars, de retourner sur le lieu de la prise de vue et de reprendre la même pause. L’effet comique est garanti.
Elle a travaillé et travaille sur d’autres projets, allez donc faire un tour sur son site.